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ARHOLY
Galerie de cartes postales
Le restaurant Lamour des quatre chemins
A l'angle de la rue commandant Charcot et de la rue François Genin, la terrasse du restaurant Lamour était très appréciée.
Les Anglais - chemin des Massues
Avant que les sœurs du Sacré-Cœur ne reviennent créer lé Roseraie, les bâtiments étaient occupés au début du siècle par l'école des Anglais qui abritait une préparation aux grandes écoles.
La Roseraie - salon
A l'angle de la rue Edmond Locard les anciens bâtiements abritaient de belles salles.
La station du tramway
Le tramway a circulé jusque dans les années trente avant d'être remplacé par le trolleybus de la ligne 30.
L'aqueduc des Massues
Le rampant des Massues ou réservoir de fuite de l'aqueduc de la Brévenne était dans un état pitoyable au début du siècle.
La place Bénédict Teissier
Quelle tranquillité pour conter fleurette sur un banc public !
La place vue d'un autre angle
Décidément les enfants du quartier adorent escalader les réverbères. L'expéditeur est facilement localisable ...
La place vue de la rue François Genin
Le photographe attire les badauds. Deux d'entre eux escalade un magnifique réverbère.
La place pendant l'hiver
Des enfants et deux joyeux cyclistes contrastent avec la tristesse hivernale de la place Bénédict Teissier.
La cure derrière l'église
Quelques enfants posent dans la rue devant la cure. On aperçoit deux cloches de l'église.
Le restaurant du Point-du-Jour
Quelques consommateurs sont encore attablés au restaurant le long de l'avenue.
Les rails du tramway sur l'avenue
Un après-midi d'été tranquille sur l'avenue du Point-du-Jour. On remarque un vélo devant le tabac.
Le chemin des mûres
Aucune difficulté pour traverser la chaussée à l'angle du chemin des mûres (rue François Genin) et de la rue Arnoud dans les années vingt.
Travaux devant l'église
Pendant l'entre deux guerres, l'activité redouble dans le quartier sur cette carte joliment colorisée.
L'église Notre Dame du Point-du-Jour en 1973
Après la destruction de l'ancienne chapelle, puis église du Point-du-Jour, la nouvelle a été consacrée le 9 décembre 1972. Elle est située cinq cent mètres plus loin à l'angle des rues des Aqueducs et de Champvert. Elle est l'œuvre d'André Beyssac, architecte du quartier et organiste réputé.
Les quatre chemins
Au carrefour des rues François Genin et commandant Charcot se trouve la Salette sur cette carte des années soixante. L'hôpital Charcot n'existait pas encore contrairement à la maison Saint Camille.
La compassion - atelier de couture
A partir de 1937, prenant le relais du Bon Pasteur, les sœurs de la Compassion reçoivent des jeunes filles en difficultés sociales. La supérieure Elise Rivet fut arrêtée par la Gestapo le 24 mars 1944, conduite à la prison Montluc et gazée à Ravensbrück le 30 mars 1945.
Le couvent du Bon Pasteur
Actuellement centre Elise Rivet, le couvent du Bon Pasteur (couvent du diable) accueillait depuis le milieu du XIXe siècle les jeunes filles en difficulté sociale. Les sœurs prenaient en charge leur éducation. Puis en 1937, chassées par les fouilles de Fourvière, les sœurs de la congrégation de la compassion s'installe au 169 chemin de l'Etoile d'Alaï.
Asile Notre Dame de Lourdes - vue d'ensemble
Le sanatorium était composé de plusieurs bâtiments construits le long de la pente et tournés vers les Monts du Lyonnais à l'ouest. Le bon air des montagnes soignait rapidement ces jeunes filles souffrant de la tuberculose.
Asile Notre Dame de Lourdes - promenade
A la Garenne, les curistes profitaient d'un immense parc cerné par les rues de la Garenne, de l'abbé Papon et Joliot-Curie.
Clinique des Massues dans les années soixante
Le Centre des Massues a ouvert ses portes le 2 mai 1960.Cent soixante lits étaient alors destinés à accueillir des patients adultes de plus de 15 ans. Il propose maintenant des activités de médecine physique et de réadaptation, adultes, enfants et personnes âgées. Le centre est géré par la Croix Rouge Française.
Asile Notre Dame de Lourdes - groupe damis
Un petit âne se promène librement dans le parc du sanatorium. Il rencontre de jeunes curistes.
Asile Notre Dame de Lourdes - le parc
Quatre jeunes curistes se promènent dans les allées du parc de Notre Dame de Lourdes.
Le Point-du-Jour - église et place
Sur la place, une dizaine d'enfants se protègent du soleil sous de somptueux chapeaux. Sur les toilettes publiques, on distingue une publicité pour lamer Picon. La présence d'une colonne Morris est étonnante dans le quartier. Elle cache la porte d'entrée de l'église.
Asile Notre-Dame de Lourdes - Les curistes
Dans ce sanatorium, trois bâtiments accueillent les curistes qui profitent du bon air sur une chaise longue.
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